Après avoir fait le mur, les revêtements s’attaquent au plafond ! Au sommet de nos intérieurs, il n’en reste pas moins oublié. Pourquoi ? Parce qu’il peut vite étouffer les proportions, écraser les volumes. Seulement voilà, il n’y a pas que la peinture blanche, bien au contraire.
Les réalisations audacieuses s’expriment sur une scène résidentielle et surtout tertiaire. Des beaux projets voient le jour au quotidien, qui illustrent la synergie entre fabricant et architectes, décorateurs, designers d’espace. Ensemble, ils créent de nouveaux cieux, hauts en relief. Ces respirations s’illustrent comme des parenthèses dans un contexte donné. Elles mettent en perspectives des scènes, révèlent une ambiance, tout en s’inscrivant dans une dynamique structurelle.
Ces compositions esthétiques sont précieuses en termes d’acoustique et de réflexion lumineuse. Le plafond participe à l’éloquence du volume, du mobilier, de l’agencement. il crée un lien invisible, tangible uniquement dans l’imagination. Il sous-entend, sans prendre parti. Il délimite sans rien imposer.